Marinette SECCO Click here for English translation |
Marinette Secco est née à Paris en 1921 d'un père
français, industriel, et d'une mère canadienne. Elle a vécu
son enfance en France, au Canada, puis à nouveau en France où
elle a passé la guerre (une période dont elle témoigne
dans ses ouvrages "Une juive dans la famille" et "Le Destin de la Juive"). Un peu plus tard, elle
épouse un Français du Liban établi en Côte d'Ivoire
et le rejoint à Abidjan où elle vit une cinquantaine d'années. Marinette Secco a dû rentrer en France en 2002 à cause de la guerre civile qui a dévasté la Côte d'Ivoire.
Pour en savoir plus, consulter le site de Marinette Secco qui comporte toutes les informations nécessaires sur sa vie, ses activités littéraires et la manière d'acheter ses livres. |
Les ombres noires du passé: Hommage aux Africaines |
Ouvrages publiés
Une Juive dans la famille. IDlivre.com, 2001, épuisé. Réédition chez l'auteur, 2010. (E-book, 540p., ISBN 978-2-9531008-6-0). Roman.
La cloche tinta trois fois et son écho, pur comme l'air de cet après-midi de printemps, n'en finissait pas de s'évanouir. Maria courut ouvrir le grand portail du parc de Prettywood et Georges avança lentement sur l'allée de gravier puis immobilisa sa Cadillac devant le perron de pierre. - Bonjour, Maria, est-ce que Madame Sarah est là ? - Entrez, monsieur Georges, elle est dans le salon. Il avait à peine franchi la dernière marche du perron que déjà Sarah se jetait dans ses bras. Georges la souleva de terre et fit une rotation sur lui-même, laquelle provoqua des cris et des rires qui animèrent soudain la maison. Ils étaient si heureux de se retrouver ! Maria les contemplait avec attendrissement et disparut dans la cuisine où elle prépara un bon goûter. Elle savait déjà qu'on allait lui demander de servir le thé un peu plus tard. |
Premier volume d'une saga familiale qui se poursuit dans "Le Destin de la Juive". Shalote, une femme juive allemande, rencontre un officier français au Canada et elle l'épouse. En France, rien ne va plus, et en 1942 c'est la "solution finale". Dénoncée, Shalote est arrêtée par la gestapo et disparaît. Est-elle morte? Déportée? Aucun signe. Qu'est-elle devenue ? "L'imagination mais aussi les souvenirs personnels sont présents dans les textes de Marinette Secco". (Quatrième de couverture) |
Le Destin de la Juive. IDlivre.com, 2001, épuisé. Réédition chez l'auteur, 2010. (E-book, 502p., ISBN 978-2-9531008-7-7). Roman.
Depuis son étrange découverte de la veille, le professeur Franz Hartmann se sentait très nerveux. Il allait et venait dans le grand salon de sa maison, revêtu d'une robe de chambre en tissu des Pyrénées dont il dénouait et renouait la cordelière. Il n'avait pas encore pris son petit déjeuner bien que le cartel placé entre les deux portes-fenêtres eût sonné neuf coups. Il était trop préoccupé pour éprouver le besoin de manger. Ce matin, un passé obscur envahissait ses pensées. Toutes ses pensées. Il se mit an piano, joua quelques mesures d'un nocturne de Chopin sur son Bösendorfer à queue, fit pivoter en une lente rotation le tabouret sur lequel il était assis et referma bruyamment le couvercle sur le clavier. L'avant-bras gauche sur le piano auquel il tournait maintenant le dos, Franz regardait autour de lui. |
Suite de l'histoire de Shalote commencée dans "Une Juive dans la famille". Une jeune femme amnésique a été traumatisée par la guerre de 39. Est-elle juive? peut-être. La guerre, toile de fond de ce roman, est racontée du point de vue de l'Allemagne, de sa souffrance et de sa résistance au nazisme. (Quatrième de couverture) |
Les Coupeurs de langues. IDlivre.com, 2001, épuisé. Réédition chez l'auteur, 2010, 370p, ISBN 2-9536-0080-0. Roman.
Perchée sur un tabouret devant le petit bar circulaire en bambou du salon, madame Ballaaz dégustait avec une évidente satisfaction sa portion congrue de potage aux légumes. C'était là tout le déjeuner servi aux curistes de la Clinica Hernandez à Marbella. En fait, cet établissement n'avait de commun avec une clinique ordinaire que les quelques médecins que l'on devait consulter impérativement en début et en fin de cure. Les infirmières, elles, procédaient chaque matin à la pesée des pensionnaires, aux enveloppements chauds sur le foie au moment de la sieste et certains jours, aux lavements purificateurs. Bref, on venait à la Clinica Hernandez pour réparer en général les dégâts causés en cours d'année par des repas souvent trop copieux, parfois trop arrosés qui, fatalement, avaient abouti à un excès pondéral gênant et inesthétique. |
Au cours d'un séjour dans une Clinique BCBG, à l'automne de sa vie, Madame Ballaaz fait la connaissance d'un homme dont elle tombe amoureuse et qui la rejoint en Côte d'Ivoire où elle habite depuis de nombreuses années. Comme le souligne l'éditeur en quatrième de couverture "Dans ce roman, amour et trafic de drogue, légendes africaines et sorciers se côtoient, entraînant notre héroïne dans des univers jusqu'alors inconnus..." |
Poèmes de ma paillote. IDlivre.com, 2001, épuisé. Réédition chez l'auteur, 2010. (E-book, 198p., ISBN 978-2-9531008-9-1). Poésie.
À mes petits-enfants que je n'ai pas encore À mes enfants que j'adore À mon mari que je n'ai plus. C'est afin que mes petits-enfants aient encore une mamie qui raconte des histoires que je les ai écrites dans ce recueil. Ce sont des histoires un peu vraies, parfois tout à fait vraies, qui se sont déroulées principalement dans deux pays qui me tiennent beaucoup à cœur : La France et la Côte d'Ivoire. Ils trouveront ce recueil dans le coffre en avodiré de la paillote du jardin, hors de l'ennui, sous la fenêtre donnant sur l'arbre de pluie à la jolie fleur mauve... Abidjan, 1989 |
Titres des poèmes du recueil
Préface -- Dédicace -- Akwaba ou la statue de pierre -- Le mendiant -- L'alcoolique -- Cubisme -- Ultimes images -- Portrait d'un homme ruiné -- La rubrique nécrologique -- Le coffre Africain -- Le "Petit homme d'un petit pays" -- Tornade en Afrique -- Au pays des Apolos -- Morphée, mon ami... -- À l'école de Binao -- La complainte du Père Noël -- La mère Eloi -- Une histoire d'Afrique -- L'année des fantômes -- Le jardinier des Tuileries -- Merci aux jeunes de ce Continent -- Rencontre à Buchnager -- Pony au pays des merveilles -- Sentiments "incolores" -- Les petits bonheurs -- Désarroi -- La rose d'antan -- La légende de la cathédrale -- À Julie -- Supplique à ma mémoire -- À deux petits enfants que j'ai trouvé charmants -- Regrets éternels -- Un si merveilleux cadeau -- Histoire vécue dans un "maquis" -- J'ai pris trop à cœur -- Quatrain pour un ami -- Hommage à notre mère -- Les oiseaux -- Les réfugiés -- Chanson pour Miss Côte d'Ivoire -- Quiproquo -- Mouvement perpétuel -- Le répondeur -- Une âme d'enfant -- Les ombres noires du passé -- Confidence à mon stylo -- Les âmes -- Images de la vie -- Le péché d'omission -- La crise de "palu" -- Premier choc devant l'ennemi -- La boîte de chocolats -- La lettre "S" -- L'âme des ponts -- Les "restrictions" -- Angoisse nocturne -- Mon plus beau voyage... -- Le secret des juifs -- La bonne Etoile -- Racines -- À ma petite-fille Yougoslave -- Le barrissement de Paris -- Mon grand-père du Canada -- Notre-Dame de Beaupré -- Histoire de fous... -- Un réveillon en Province sous l'occupation -- Rien qu'à mes petites-filles -- À tous mes petits-enfants -- Pour servir et valoir ce que de droit -- Le héros du bois de Vincennes -- Une des grandes énigmes de la Libération -- Comme autrefois... -- La voix -- Il était une vieille dame... -- Nocturnes sous les tropiques -- Un certain anniversaire... -- Appréhension -- Conte pour enfants -- Mamie de retour de l'Olympe -- Rideau ! -- "Coup de pompe" -- Post-Scriptum -- Le bicentenaire -- Conte à rebours -- Ecoutez bien -- Nostalgie |
Le rat des cocotiers. Chez l'auteur, 2008. (495p.). ISBN: 978-2-9531008-2-2. Roman.
Tout en lui était gris : ses cheveux, sa moustache, son teint, son costume et même son moral. Il avait étalé sur son bureau les deux pages de petites annonces du journal « l'Orient » et en avait entouré une au crayon rouge : « Louerais août-septembre vaste appartement meublé quai de Passy Paris. Ecrire... » Suivait le numéro de l'annonce. Il pensa que ses fils, qui étaient maintenant de grands jeunes gens, se laisseraient plus volontiers convaincre d'aller à Paris s'ils se sentaient un tant soit peu plus libres que dans ce petit hôtel de la rue Sainte-Anne où ils étaient, disaient-ils, davantage en déplacement qu'en vacances. Il y avait des années que chaque été, avant la guerre, ils descendaient dans cet hôtel. Monsieur Moretti l'avait choisi tout d'abord en raison de la Compagnie Mercure qui avait son siège Avenue de l'Opéra. Ensuite, parce qu'il était à proximité de la Comédie Française, du musée du Louvre, de l'Orangerie, du magasin du Louvre où sa femme aimait faire ses achats et, de l'Opéra, il leur était aisé de rayonner partout il y avait un musée à visiter. Mais cette année, les jeunes avaient prévenu leur père : les musées de Paris ils en avaient ras-le-bol...
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"Une intrigue policière dont l'action se déroule au Cameroun, Afrique équatoriale, dans les années 50. Qui a commis cette série de meurtres ? La plupart des protagonistes avait un dénominateur commun : le Liban. Affaire de Blancs ? Affaire de Noirs ? Non. Affaire humaine, tout simplement. Vous en trouverez les motivations dans les sept péchés capitaux dont l'orgueil, la luxure, l'avarice et... la gourmandise." (Quatrième de couverture). |
La case de l'or. Chez l'auteur, 2008. (263p.). ISBN: 978-2-9531008-1-5. Roman.
Comment Florence pouvait-elle trouver ce petit manoir du dix-neuvième siècle aussi insupportable alors qu'elle avait eu le coup de foudre pour lui lorsque son mari le lui avait présenté pour la première fois il y a seulement quelques années de cela ? Du reste, cette maison ou une autre, elle devrait y supporter la même solitude, le même chagrin, les mêmes remords, les mêmes angoisses. Si seulement elle avait eu des enfants ! Oui, un fils. Il l'aurait soutenue, réconfortée, guidée, conseillée. C'est vrai, les jeunes garçons sont parfois très mûrs à quinze ans. Le sien aurait été ainsi. Elle en aurait été très fière. Elle s'imaginait le présentant à n'importe qui puisqu'elle ne connaissait personne dans la région : « Mon fils Pierre » et elle aurait lu sur le visage de l'inconnu : « On ne dirait jamais son fils ! » Pierre l'aurait emmenée au cinéma ce soir. Elle en était sûre. Il n'aurait pas supporté de voir sa mère si triste, si désemparée. |
"Florence assiste malgré elle, à l'escale de Ténérife, à un « dégagement » du commandant d'un bananier qui la ramène d'un congé en France sur la plantation de son mari. Seule femme parmi les invités du commandant, elle boit beaucoup trop de champagne alors qu'elle n'en a pas l'habitude. Or, un des passagers, magistrat près le Tribunal de Conakry, sale individu sans scrupules, lui laisse entendre par la suite qu'elle a été sa maîtresse ce soir-là et la fait chanter. Pourtant, s'est-il vraiment passé quelque chose ce soir-là ? La crainte que cette menace ne parvienne à la connaissance de son mari qu'elle adore et n'éveille un doute dans son esprit, l'amène à accomplir trois meurtres qui la conduisent à la prison de la Petite Roquette en France. Elle est acquittée au cours du procès grâce au témoignage du commandant du bananier qui apporte la preuve de la vilenie d'un représentant de la Justice et la preuve qu'elle était la victime d'un chantage odieux. A sa sortie de prison, Florence est veuve, sans famille, sans plus d'argent. Elle est seule au monde. C'est ce qu'elle pensait. Cependant un admirateur veillait sur elle et sur son chien qu'il avait recueilli. Quelques mois plus tard, elle ne comprend pas, elle et Satan, comment elle avait pu se remarier aussi vite après avoir fait « tout cela » par amour !" (Quatrième de couverture). |
Larmes de graisse. Chez l'auteur, 2008. (216p.). ISBN: 978-2-9531008-4-6. Roman.
Lottie se rappelle encore parfaitement les circonstances dans lesquelles elle avait fait la connaissance de Philippe. C'était au cours de l'année soixante et onze, en juillet plus précisément. Elle dirigeait alors son propre bureau d'achats à Londres d' elle écoulait principalement les produits chimiques fabriqués par l'usine de Bretagne de son mari. Elle rentrait le week-end à Saint-Malo toute la famille se réunissait dans leur jolie propriété de l'Etang : les pensionnaires, les enfants mariés, les gendres, les petits-enfants.
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"Philippe, très bel homme, antiquaire parisien du Faubourg St-Honoré, se rend à New York pour ses affaires. Il fait le voyage sur le paquebot « Le France » au cours duquel il fait la connaissance de Lottie dont il tombe follement amoureux. C'est ce qu'il appelle sa traversée du bonheur. Malheureusement Lottie, qui habite en Bretagne, est mariée à Romain qu'elle aime tendrement et qui l'adore. Il n'est pas question de l'abandonner. Philippe doit donc rentrer à Paris il vit seul avec un frère homosexuel qui meurt du sida peu après son retour. Là, suite à son grand chagrin et à son immense solitude, débute son obésité qui le conduit très vite à sa traversée du désert. Cet ouvrage met en exergue le martyre physique et psychique que subissent tous les obèses. Quels qu'ils soient. De quelque milieu auquel ils appartiennent." (Quatrième de couverture). |
La Française de Belgrade. Chez l'auteur, 2008. (266p.). ISBN: 978-2-9531008-5-3. Journal.
Belgrade, le 2 juillet 1990
Sans savoir que j'avais l'intention de tenir mon journal, Zoran m'a rapporté de New York un adorable carnet rouge, doré sur tranche, « One Year Diary » que j'étrenne aujourd'hui et qui sera notre mémoire plus tard. |
"Avant-Propos ... je décide, à compter de ce jour, de tenir mon journal. Si jamais il tombe entre des mains étrangères à la famille, il ne pourra être lu qu'à travers les vues d'une jeune Française d'Afrique noire, ni journaliste, ni politologue, encore moins historienne qui ne possède qu'imparfaitement la langue serbo-croate, qui écrit le français désinvolte des jeunes d'aujourd'hui (son père dixit), qui n'a jamais souffert de contrainte politique d'aucune sorte, qui a toujours connu la plus grande liberté, qui ne fait que subir la politique déplorable actuelle sans la partager et surtout sans bien l'approfondir mais qui a une « belle âme » pour son Serbe de mari, pilote de ligne et son beau pays : la Yougoslavie. Mariana"
"Une jeune Française mariée à un pilote de ligne Yougoslave tient son journal sous le régime de Slobodan Milosevic jusqu'au jour elle écrit : |
La mort était présente au G7. Chez l'auteur, 2008. (490p.). ISBN: 978-2-9531008-3-9. Roman.
La maison de Jérôme et de Florence est pleine de charme tout comme son environnement. Elle est entièrement recouverte d'ampélopsis qui rougit et jaunit à l'approche de l'automne. Cette plante encadre joliment les portes et les fenêtres aux pourtours bien taillés. En été, celles-ci sont agrémentées de stores à grosses rayures marron qui s'harmonisent parfaitement avec les couleurs du sous-bois. Un adorable boqueteau dévale, sur la gauche de la demeure, la pente douce d'une ravine pour border enfin un petit chemin qui conduit à Charbonnières. La propriété s'étend sur cinq hectares, ce qui permet les belles promenades quotidiennes qui valent à Jérôme et à sa femme leur forme magnifique en dépit d'un âge que l'on qualifiait jadis de respectable. |
"C'est seulement deux mois après le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement des sept principales puissances économiques du monde, le G7, que les quatre sœurs Morin et trois membres de leur famille décident de se réunir dans les environs de Lyon, chez Florence et son mari Jérôme pour fêter l'anniversaire de Babette, l'aînée des sœurs. Trois d'entre elles vivent à l'étranger dans différents pays. Comme elles sont apparemment à l'aise pécuniairement, c'est par boutade qu'elles ont voulu paraphraser le fameux sommet en appelant leur petite réunion le « G7 ». Chacune à son tour fait le synopsis de sa vie, somme toute sinon banale, du moins sans éclat. Sauf pour l'une d'entre elles. Sidonie, qui vit partie en Angleterre, partie en Ecosse, est immensément riche. Elle a quitté sa famille à la suite de l'appel du 18 juin du Général de Gaulle, en 40, et n'a plus donné signe de vie depuis. Elle se confie à Florence et lui avoue un drame vieux de quelque 40 ans, qui a fait de son existence un vrai calvaire. Malheureusement, ce drame la poursuit et un soir, alors qu'une personne l'avait fait appeler dans le jardin de Florence, on la découvre au bout d'une demi-heure, morte, la tête enfouie dans les feuilles recouvrant le sentier du sous-bois. Qui a tué Sidonie ? Pourquoi ? Qui était la mystérieuse personne qui l'avait fait demander ? C'est ce que Jérôme et Florence finiront par découvrir dans le vieux château écossais de Castelbroad, hanté par un fantôme assassin." (Quatrième de couverture) |
La Vie atypique d'un inventeur en Côte d'Ivoire : Maurice Delignon. Chez l'auteur, 2010. (232p.). ISBN: 978-2-9536226-0-7. Biographie.
Qu'auraient dit les augures s'ils avaient été consultés à la naissance de Maurice ce neuf octobre mil neuf cent vingt neuf à Nancy dans l'est de la France? Peut-être auraient-ils présagé la vie hors du commun que le destin réservait à ce bébé? Dans ce cas, ils lui auraient été d'un grand secours en lui donnant l'espoir d'une vie meilleure que celle qui l'attendait à son arrivée au monde.
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"Défavorisé dès sa naissance, Maurice passe sa jeunesse à l'orphelinat affligé du statut de "petit pauvre". Il n'a qu'un but : échapper un jour à cette situation. A dix-huit ans, en 1947, il rejoint la Côte d'Ivoire avec pour tout viatique un CAP de menuisier-ébéniste. Il y crée une petite fabrique de meubles puis il construit 14 villas, un centre hippique, un restaurant russe, une piscine publique, mais ce qui lui valut la célébrité dans le pays c'est la construction d'une 2 CV adaptée à la brousse et aux petits planteurs, la "Baby-brousse", qui sera produite en Côte d'Ivoire, en Grèce, en Iran, en Argentine et au Vietnam. Maurice Delignon ne se satisfait pas de son succès. Il construit ensuite sur la plage un sous-marin-discothèque avec le seul concours de quatre ouvriers locaux. Le sous-marin, le "C105", fera les beaux soirs des noctambules d'Abidjan puis il connaît le même succès auprès du « Paris by night ». A 80 ans, de retour en France il avait pris sa retraite, il expliquait encore ses dernières créations aux journalistes qui venaient l'interviewer."[D'après: https://www.lisons.info/La-vie-atypique-d-un-inventeur-en-Cote-d-Ivoire-.-Maurice-Delignon-livre-1488.php] |
Pour en savoir plus
Site de Marinette Secco [Consulté le 27 novembre 2013].
Email de l'auteure apportant quelques précisions sur ses ouvrages et leur publication. (2010). [Ajouté le 24 août 2010].
Editor ([email protected])
The University of Western Australia/French
Created: 2 Aug 2001
Last updated: 24 August 2010
Archived: 27 November 2013
https://aflit.arts.uwa.edu.au/MarinetteSecco.html